Tashaa
Messages : 2 Date d'inscription : 22/05/2013 Age : 28
| Sujet: and I'm in love with the Devil Mer 22 Mai - 12:20 | |
| I've lost my mind, lovin' him so hard Tashaa/Fuckingfrenchy| Présentation •• Tashaa » » Pourquoi avoir choisi ce pseudo ? Oulà eh bien c'est mon pseudo depuis un long moment déjà. Sa provenance c'est... Long à expliquer mais si vous voulez tout savoir, je vous le dirai volontiers (je suis une adepte du 3615 ma ife si ça vous intéresse ;)). » T'habites où ? Chez ma mère, haha. Non, plus sérieusement... Vous voyez où Alexandre Astier vit ? Ses deux maisons ? Bah dîtes-vous que j'ai une maison à côté de chacune d'elles (-: Sans rire, en plus. » Comment tu as connu EnvolEncre ? Je votais pour un forum sur un Top Site et je suis tombée sur EnvolEncre et étant une grande amoureuse de l'écriture et ayant été conquise par votre superbe design, j'ai décidé de venir me joindre à vous. » T'es comment, en faux ? Une ombre. Dans le genre trop charismatique et bilingue, of course. » Est-ce que tu aimes écrire ? C'est plus que de l'amour ou une passion. Je ne pourrai décrire avec exactitude ce que l'écriture représente à mes yeux... C'est tellement, compliqué, tellement plus que ce que ça en a l'air... » Tu nous montres ce que tu fais ? Si vous voulez, oui. Je vous glisse un Rp et un texte. - Spoiler:
L'image que lui renvoyait le miroir ne lui plaisait pas. Elle avait l'impression que la silhouette qui s'affrontait à elle était loin de la réalité bien qu'elle sache que ce ne fût pas le cas. Il lui semblait que le reflet qu'on lui présentait ne pouvait être le sien tant il était fade et triste. Le teint blafard d'un visage fermé aux émotions humaines, des poches violacées sous un regard de braises vacillantes et des lèvres pâles tirées vers le bas en une moue qu'on ne lui connaissait pas. Bon sang, Alicja, mais comment as-tu pu tomber aussi bas ? La réponse ne l'effleura même pas. Bien sûr, elle prenait toujours soin d'elle mais ces derniers temps, elle admettait dans une grimace honteuse qu'elle faisait quelques excès de zèle ces derniers temps. A chaque fois qu'elle essayait de se reprendre en main, elle n'y parvenait pas. C'était comme au-delà de ses forces, malgré tous les efforts qu'elle fournissait – ou qu'elle pensait fournir. Seules ses enquêtes en cours lui tenaient la tête hors de l'eau lorsqu'elle se sentait couler au plus profond des abysses. Et encore. Lorsqu’elle laissait les faux-semblants s’abattre sur le sol, elle s’apercevait que ce n’était qu’une illusion. Elle donnait l’impression de s’en sortir, de rester forte. D’avoir le courage et la force de lutter contre ce fléau qu’elle avait, jusqu’à présent, réussit à fuir sans jamais s’en préoccuper plus que nécessaire. Mais ce n’était rien de plus qu’un mensonge. Plus rien ne l’aidait à sombrer dans un mal terrible qu’elle évitait depuis dix ans. Le couperet tomba et lui trancha une partie d’elle-même pendant qu’elle se surprenait à admirer ses traits déformés. Au fond, le désespoir visible sur chaque parcelle de ce visage sans vie rendait ce tableau presque poétique. Un soupire, alors, s’éleva dans l’appartement ; des épaules s’affaissèrent, lasses du poids qu’elles s’efforçaient de garder en équilibre. Combien de temps encore vas-tu te laisser mourir pour lui ? Alicja détourna le regard de cette accusation portée par son propre reflet, mal à l’aise. Il n’était pas l’unique cause de ses tourments. C’était, du moins, ce dont elle voulait se convaincre sans jamais y parvenir. La réalité venait la frapper en plein fouet dès qu’elle se mettait à rêver d’une vie plus paisible, d’un monde plus calme, où sa vie serait le fruit de ses choix et non pas la conséquence d’une avalanche de troubles. Était-ce de sa faute, ou bien était-ce inévitable ? Sa main retomba lourdement sur le bois de la table pendant que l’autre semblait s’éveiller d’un sommeil anesthésiant. L’heure n’était plus au questionnement philosophique et existentiel. Ses doigts allèrent chercher son eye-liner et, après une courte hésitation, elle dessina un trait fin sur sa paupière close, réitéra son geste sur l’autre œil. Sa spécialisation professionnelle lui avait appris à savoir se maquiller comme une fée ; ayant grandit loin d’un model féminin, elle n’avait jamais appris à se badigeonner de fond de teint et autre fard à paupière. C’était donc seule qu’elle avait passé des soirées, voire des nuits entières, devant l’immense miroir de la salle de bain à tester les couleurs qui lui allaient le mieux avec les instruments des filles qui ne s’en servaient plus. Longue avait été son initiation au maquillage. Mais elle y était parvenue. Comme toujours. Elle avait utilisé son handicap comme d’un atout et se vantant, maintenant, de savoir se maquiller comme bon lui semblait. Ses cernes disparurent, ses yeux retrouvèrent leur pétillement habituel, ses lèvres se teintèrent de rouge. Une insulte fusa alors dans son esprit tandis qu’elle s’apercevait du ridicule de la situation. Elle se faisait belle pour aller danser avec le Diable.
La Chrysler Le Baron ronronnait de plaisir lorsqu’Alicja la démarra avec une légère appréhension. Voilà bien longtemps qu’elle avait abandonné sa merveilleuse voiture, lui préférant sans honte aucune, sa Honda CB350 qui lui permettait quelques excès de vitesse sur l’autoroute qui la menait jusqu’à Quantico. Un petit écart du code de la route dont elle était friande une fois de temps et qui lui avait souvent valut plusieurs contraventions – dont la plupart qu’elle n’avait pas pris le temps de vouloir payer. Le véhicule s’engageait sur la voie avec légèreté, ses roues foulant ce sol bafoué par ses pairs sans s’en soucier outre mesure. Il semblait à Alicja qu’elle redécouvrait le plaisir de la conduite automobile. Un frisson lécha son échine à l’idée de pousser ce petit bijou au-delà de ses limites… Coups d’œil furtifs dans les rétroviseurs. Personne. Oubliant son statut de représentante des forces de l’ordre, son pied se fit plus lourd sur la pédale d’accélération, sa main caressa son levier de vitesse et elle embraya. Elle venait de passer la quatrième. Le songe d’un souvenir lui apparut alors, aussi brutalement qu’un flash d’appareil photo. Edward et elle. Parcourant les rues, main dans la main. Traçant un chemin à travers champ pour quitter le Canada, pays qui ne les retenait plus, jusqu’à atteindre les États-Unis qui leur promettaient un bel avenir. Fuyant les autres et les indésirables pour mieux se retrouver. Elle avait été assez naïve pour croire qu’il était différent. Assez conne pour assurer à qui voulait l’entendre que rien ne les séparerait. Elle avait souffert en le voyant partir sans se retourner. Avait pleuré ce meilleur ami perdu ; détesté cet amant menteur. Elle lui en avait voulu et lui en voulait encore. Âpre était le goût de la trahison, amer celui de la solitude qui l’avait enveloppée par la suite. Il avait été son roc, celui sur lequel elle s’appuyait pour marcher droit. Son repère, celui qui avait un pouvoir sur elle. Son tout, celui sans lequel elle ne pouvait pas tenir et garder la tête haute. Mais elle y était parvenue. Comme toujours. Le choix, Edward le lui avait subtilisé en l’abandonnant sans lui demander son avis. Et si il le lui avait laissé, l’aurait-elle suivit ? Elle coupait le moteur, la réponse sur le bout des lèvres. Oui, elle l’aurait suivit. Tout comme elle l’avait laissé l’entraîner dans un autre pays. Tout comme elle se serait pliée en quatre pour lui. Tout comme elle s’était pouponné comme une adolescente pour aller le voir. Garée dans un coin sur le parking de la prison fédérale, elle n’osait pas quitter son siège confortable. Chaque fois le même refrain. Dès qu’elle venait, elle restait de longues minutes à l’ombre du bâtiment, hésitant à faire ce pas décisif ou à faire marche arrière. Souvent, elle prenait la seconde option, n’ayant ni la force ni le courage d’affronter son Némésis. Les remarques sarcastiques et autres railleries du prisonnier lui parvenaient déjà ; la fatiguant avant qu’elle n’ait le temps d’esquisser le moindre geste.
Une douce et chaude brise l’enveloppa comme une langoureuse caresse, laissant les pans de sa robe légère de printemps valser ; tandis que ses doigts serraient le dossier contre sa poitrine. Ses cheveux blonds, retombant en cascade sur ses épaules frêles, voltèrent avant de reprendre leur position initiale. Elle avait pris sa décision en laissant son regard examiner la serviette contenant les feuilles de son enquête. Cette visite n’était pour son plaisir mais pour le travail. Elle ne pouvait donc pas tourner les talons et fuir comme elle avait pris l’habitude de faire. Une autre raison s’était ensuite glissée dans son esprit. Elle ne s’était pas faite toute belle pour rien. Ordinairement, elle se contentait d’attraper un jean ou un tailleur selon son personnage, se maquillait légèrement en conséquence et se considérait comme parée pour sa mission. Cette fois-ci, tout était différent. Les masques étaient tombés, les fausses identités aussi. Aujourd’hui, elle n’était pas Veronica, ni Kristen ou Grace. Eléanor avait disparut, emmenant à sa suite Layla et Alix. Aujourd’hui, elle n’était personne d’autre qu’Alicja. Enfant brisée et rêveuse dans un monde trop abrupte et malsain. Jeune fille torturée et perdue dans un univers trop vaste et trop violent. Jeune femme déchue et rejetée des êtres aimés et admirés. Elle se dévoilait après des années dans l’ombre d’elle-même ; se mettait à nue devant la seule personne capable de la cerner réellement. Elle jetait les armes à ses pieds pour qu’il puisse la briser avec l’instrument de torture qu’il aurait décidé. C’était peut-être sa façon à elle de lui indiquer qu’elle n’en pouvait plus. Qu’elle ne parvenait plus à lutter contre le fantôme de son meilleur ami. Que vivre dans le passé devenait sa hantise mais elle était trop profondément encrée dans ce cercle vicieux. Elle ne pouvait plus s’en sortir indemne. Elle devenait son propre bourreau.
Luis la complimenta sur la beauté de sa tenue et lui demanda si c’était pour une occasion spéciale. Elle prit le temps de réfléchir avant d’hausser les épaules. Ses manières contrastaient de beaucoup avec sa tenue. Vêtue ainsi, n’importe qui l’aurait pris pour une jeune femme bien élevée, encore innocente et un peu candide. Peut-être l’était-elle encore un peu ? Le gardien lui rappela les règles à suivre pour les visites du détenu O’Callaghan. Un hochement de tête rapide et la porte s’ouvrait devant elle, la laissant passer, le dossier tenu fermement entre ses mains. Le trajet qui allait la guider jusqu’à la salle des visites, elle le connaissait par cœur. Mais plus elle avançait, plus ses pas devenaient hésitants. Ses jambes flageolèrent, fragiles et elle dut s’arrêter à quelques pas de la lourde porte. D’une main tremblante, elle s’appuya contre un mur et se força à respirer calmement. Le dossier, l’enquête. Voilà sur quoi elle devait se concentrer. Pourquoi s’était déguisé comme une fille de bonne famille ?! Pourquoi avait-elle décidé de jouer les jeunes effarouchées qu’elle détestait tant ? Espérait-elle conquérir Edward ? Sûrement. Voulait-elle qu’il la remarque ? N’importe quoi ! Désirait-elle qu’il comprenne tout le mal qu’il lui avait infligé ? … Un nouveau gardien l’observa sans se gêner et elle leva les yeux au ciel. Une fine robe à fleur et voilà qu’elle devenait le centre d’attention de tous ces mâles entourés de testostérone. Un comble ! Se redressant, Alicja lui fit signe de lui ouvrir la porte et pénétra dans la pièce d’un pas lent, qu’elle espérait certain et décidé. Avant de continuer à s’avancer, elle attendit que l’homme derrière elle eût refermé l’entrée et s’avança de quelques pas. A plusieurs reprises, ses yeux clairs survolèrent le prisonnier déjà présent. Le visage de nouveau fermé, la jeune femme prit place sur une chaise et déposa le dossier devant elle. Ne lui montre pas ta faiblesse, ne le laisse pas t’abattre en premier. Plante-lui un couteau vengeur et ignore ses remarques méprisantes. S’est-il déjà montré méprisant ? Ne lui tends-tu pas un peu la perche ? Montre-toi aguicheuse et frappe-le. Surprends-le comme le jour où tu l’as arrêté. Ne le laisse pas te prendre de haut. Blesse-le. D’un geste imaginaire de la main, elle effaça cette petite voix qui lui dictait quelques ordres protecteurs et planta son regard dans celui d’Edward. Malgré ses huit années passées derrière les barreaux, il gardait ce charisme et cette beauté qui lui étaient propre. Elle l’observa lentement, comme elle l’avait souvent fait par le passé ; admira chacun de ses traits saillants et ce visage froid mais enfantin. Elle regretta son sourire qui l’avait si souvent faire rougir quelques années plus tôt et se souvint de cette nuit d’amour et de passion folle vécues. Une, parmi tant d’autres qui avaient suivies. Comme à chaque fois qu’elle venait, elle laissait un silence long parler à sa place, ne trouvant pas les mots. C’était toujours le même refrain, toujours la même rengaine.
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Les notes de la très célèbre valse de Chopin vibraient dans l’air, parfois atténués par quelques éclats de rire. La mélodie, grésillant, offrait un agréable fond sonore qu’elle ne couvrît les conversations. Le bal avait débuté depuis plusieurs heures mais l’immense piste de danse n’avait pas accueillie plus d’une dizaine de couples au total. L’un d’eux valsait en ce moment-même, s’attirant les regards de quelques curieux, créaient quelques vagues de jalousie par l’alliance de leurs deux corps enlacés, de la beauté qui se dégageait d’eux et de leurs pas. Lui était un homme vif dont l’intelligence et la capacité d’analyse lui avaient souvent valu la reconnaissance de Scotland Yard. Elle était une scientifique reconnue malgré des débuts difficiles de part son statut de femme ; une féministe dans l’âme qui avait pour avantage de savoir se faire entendre. Personne n’ignorait leur identité, le monde les admirait. Et eux, lancés dans leur valse romantique, ne leur accordait pas un regard, pas une attention. Les yeux dans les yeux, ils ne se quittaient que de très courts instants, les mains jointes par un pacte muet, les esprits liés par une complicité rare.
Il avait une main au creux de ses reins, la seconde retenait ses doigts délicats. Helen avait fermé les yeux afin de profiter de cet instant rare et précieux. Une fois n’est pas coutume, elle se laissait entraîner par les pas de son cavalier ; elle lui tendait les rennes de son corps pour qu’elle ne soit rien de plus qu’une poupée de chiffon entre ses bras. Elle laissait tomber son masque de femme forte pour dévoiler son vrai visage qu’il connaissait si bien. Il s’éloigna quelques secondes, lui lâcha la main avant de revenir se blottir contre elle. Mais ce n’était plus lui. Le changement aurait imperceptible pour quiconque ne connaissant pas James comme elle le connaissait. Les doigts qui allèrent retrouver les siens étaient fins et froids ; le contact lui tira un frisson où se mêlaient l’incompréhensible et l’appréhension. La main nichée à sa taille était plus grande, peut-être même plus féminine mais elle cachait une force qu’elle sentait à travers le tissu. La certitude qu’il s’agissait d’un homme ne la quitte pas. Un nom s’imposa dans son esprit avec rage. Elle se raidit, ouvrit les yeux. « John…, » murmura-t-elle alors que le corps fin et longiligne de son cavalier venait se coller contre son dos. Elle ne s’aperçut de son erreur que trop tard. « Je t’en prie Helen, ne m’insulte pas. » Le ton, taquin, et la voix rauque cachaient un lointain accent quasiment disparu. Mais son ouïe fine l’avait noté. Et reconnu. « Nikola. » Le Serbe la faisait maintenant tournoyer avec délicatesse mais Helen ne s’était pas détendue pour autant. Alors qu’elle flottait dans les bras de James quelques minutes plus tôt, elle se débattait maintenant entre ceux de son ancien ami. « Que fais-tu ici, Nikola ? » Sa main prisonnière des doigts du vampire, elle laissa les éclairs noyer ses yeux électriques pour aller foudroyer l’homme. En vain. Sa qualité de vampire l’avait donc rendu insensible en plus d’être invincible ?! Il conserva son petit sourire narquois qui le rendait plus arrogant qu’il ne l’était en réalité et qui ne l’avait jamais quitté durant leurs années à Oxford. « Voyons Helen… Je danse avec une vieille amie. Est-ce mal ? » Elle maudit ce sourire qui s’élargissait, son sang qui se glaçait dans ses veines et cet homme qui jouait de sa nature pour la garder contre lui. Il se pencha, frôla sa joue d’un baiser. « Promis, je ne te mordrais pas… A la condition que tu termines cette valse en ma compagnie. » « Tu as fais une promesse, Nikola…, » voulut-elle menacer avant qu’il ne la coupe. « Et je compte la tenir. Mais tu m’as aussi promis une danse et je viens la réclamer, aujourd’hui. » Il s’éloigna sans lui lâcher la main, la porta au-dessus de lui. Helen profita de la hauteur pour chercher James du regard mais il avait comme disparu.
Ses pieds retrouvèrent le sol avec plus de brutalité que Nikola avait souhaité. Cependant, leurs deux visages restèrent impassibles. Helen n’en pouvait plus. Elle restait droite, incapable de se détendre, de faire fi de tout que le Serbe représentait. Elle était à sa merci ; s’il le désirait, il pouvait la briser en un mouvement du poignet. Elle était vulnérable, comme elle ne l’avait jamais été auparavant et comme elle détestait l’être. « Tu es terriblement vexante, Helen. Penses-tu vraiment que je serai capable de te nuire ? » Un sourcil arqué, elle voulu s’enquérir d’une explication. Il la prit de court. « Je suis un vampire… » « C’est précisément la raison pour laquelle je me méfie, Nikola. » « Je ne suis pas John. » Une brise glaciale vint les séparer. Elle sentit ses mains se refroidirent lorsque le Serbe les lâcha. L’espace d’un très court instant, la scientifique crut déceler une vague d’émotion traverser le regard clair de son cavalier. Mais il gardait sa posture droite et froide. « Je ne me permettrai pas de jouer avec tes sentiments comme Druitt l’a fait. Ou comme tu le fais avec James, ou même moi. » Blessée par les propos de son ami et incapable de répondre, la jeune Magnus ne put que reculer lorsqu’il fit mine de vouloir baiser sa main. Elle contempla son visage fermé et ne comprit que plus tard qu’il n’avait pas tenté de reprendre la valse bien que la chanson ne soit pas terminée. Nikola s’évapora en un battement de cil mais dans l’air résonnait sa voix qui lui susurrait au creux de l’oreille un merci. « Helen ? Tout va bien ? » La jeune femme leva les yeux vers son ami avant d’acquiescer lentement, perdue. « Partons James. Je suis lasse. » L’homme lui offrit galamment son bras avant de la guider vers la sortie sans se douter que le Docteur Magnus venait de se heurter à un mur de vérité Serbe. Et que celui-ci était aussi mordant que le couteau de l’Éventreur. Nikola n’avait, jusque-là, jamais été blessant avec ses paroles. Peut-être avait-il désiré lui montrer le mal qu’elle lui infligeait sans réellement le vouloir ? Les questions affluèrent et Helen décida de les mettre de côté pour reprendre la soirée en compagnie de James. Après tout, Nikola l’avait cherché.
» Si t'écris pas, tu fais quoi ici ? Je me balade /pan/ Non mais moi j'écris. Je suis humaine. » Tu fais du RP ? Vu que je vous ai montré un Rp... Oui. C'est un moyen pour moi de tester différents styles d'écriture et d'écrire assez régulièrement. » Quel genre de RP ? Hum, j'aimerai dire que je touche à tout mais c'est assez faux, en fait. Principalement sur des séries ou des films que j'adore vraiment. Parce que c'est un univers connu et que je trouve plus simple d'insérer un personnage dans un univers que je connais déjà. Ensuite parce que je suis extrêmement difficile avec les forums aux contextes inventés. Je prône l'originalité au reste et bien souvent, les principes sont les mêmes. Ceci étant, je regarde toujours les autres forums, il faudra juste que j'ai un immense coup de coeur pour m'inscrire. » Pourquoi ce genre de RP là ? Je crois que j'ai plus ou moins répondu à la question avec ma précédente réponse. » Est-ce que ça te tape de voir RP partout ? Yé pas compris la question... » Ton légume préféré ? Les courgettes ! Je ne saurai pas l'expliquer mais j'en suis fanatique. Et j'adore les concombres aussi. » Ton fruit préféré ? Je n'en n'ai pas particulièrement. Ca dépend de mon humeur. Ceci étant j'adore les brugnons et les pêches. Surtout les pêches plates. » Ton disney préféré ? Hum... Choix difficile... En général je préfère les Pixar aux Disney en fait so... Je dirai... Humpf... Je sais pas. Honnêtement. » Ta série télé préférée ? Stargate. Et quand je dis Stargate, j'inclu SG1 et Atlantis (choisir entre les deux relève, pour moi, de l'impossible). C'est la série de mon enfance (et quand je dis enfance, je dis bien enfance, je l'ai connue quand j'avais environ 5 ans et je n'ai pas lâché jusqu'à la fin de SG1 pour ensuite me lancer dans Atlantis. Là je cherche mon courage pour regarder les Universe) et j'en suis juste amoureuse. Je ne m'en lasserai probablement jamais. Sinon EUReKA est un coup de coeur depuis le début de la saison un et je ne m'en passe pas non plus. Je la regarde en boucle. Elle risquerait, d'ailleurs, de voler le trôner aux Stargate. » Ton film préféré ? Amazing Grace ! Un film juste époustouflant, magnifiquement bien réalisé et magnifiquement beau. L'histoire de cet homme qui combat l'esclavage, être au coeur même de cette lutte... Et le casting est juste grandiose (Ioan Gruffudd et Benedict Cumberbatch sont deux de mes amoureux :$: » Ton livre préféré ? Hannibal de Thomas Harris mais aussi 1984 de George Orwell. Après j'aime aussi énormément la saga des Ewilan de Pierre Bottero. » Ta célébrité préféré ? Kristen Bell et Ryan Gosling. Bien que j'adore Anthony Hopkins que je vénère littéralement, Jonathon Young pour son jeu excellent et Benedict Cumberbatch » Ton couple préféré ? Le Jarter (Samantha Carter/Jack O'Neill - Stargate SG1) pour plusieurs raisons. La première, qui est sûrement la plus évidente, c'est parce que j'ai grandis avec eux et leur amour interdit et impossible. Ensuite c'est parce qu'ils ont cette originalité que j'adore : le fait qu'au final, après dix longues saisons de SG1 (et en rajoutant celles d'Atlantis et de Universe, 15 longues années) ils ne finissent pas ensemble. Ils luttent contre leurs sentiments mais ne peuvent les nier. Cet amour qui les unie je le trouve juste... Indescription. Ils me vendent du rêve et ce n'est pas qu'une expression. » Une question qu'on ne t'as jamais posé ? Combien vous êtes dans ta tête ? » Ce que tu répondrais ? Je suis deux.
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