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| | Cinq fruit et légumes par jour... | |
| Auteur | Message |
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La banane qui parle
Messages : 385 Date d'inscription : 27/10/2013 Age : 26 Localisation : Dans une assiette de Banana-Split
| Sujet: Cinq fruit et légumes par jour... Dim 27 Oct - 16:45 | |
| •• La Banane qui parle, c’est moi » » Pourquoi avoir choisi ce pseudo ? La banane qui parle ? Mouais…C’est sans doute du à un vieux délire entre amis concernant un bar gay communiste éponyme, ce délire-la est lui-même du à un épisode du visiteur du futur, je crois bien. Tout ça pour dire que l’idée de prendre ce pseudo m’est venu d’une chose idiote. » T’habite où ?Quelque par entre le ciel et la terre, je suis citoyenne du monde et fière de l’être…Bon, d’accord, je suis [juste un peu] française… » Comment tu as connu EnvolEncre ?Et bien c’est très simple… Non, en fait c’est plutôt complexe, voyez vous, j’écris [un peu]. Le gout de l’écriture m’est venu en faisant du rp sur des forums. Depuis peu, le forum que je chérissais le plus et d’où provienne une majorité de mes écris est en train de crever comme un chien au bord de l’autoroute [quelle poésie raffinée, n’est-ce pas ?]. Je perds peu à peu l’inspiration et l’envie d’écrire, j’ai donc pris la décision de chercher un forum de ce genre pour retrouver tout ça. Ce forum m’a tapé à l’œil par la beauté de son design et par le peu de membre qu’il comptait (les forums en surpopulations, très peu pour moi). Donc voila, la principale raison qui me pousse à m’inscrire ici, c’est de retrouver mon inspiration et ma volonté d’écrire et, bien entendu, de m’améliorer ! » T'es comment, en faux ?Je suis une banane qui parle, tout est dans le titre ! Je suis gentille, attentionnée, compréhensive, je ne juge que très peu les gens (la plupart du temps, c’est quand je suis de très mauvaise humeur), mais je suis aussi têtue, bordélique, un peu tarée dans sa tête et je suis fan des quenouilles depuis l’épisode 27 de What the cut ! Faites attention à moi, sinon, je risque de devenir dangereuse. Ne pas nourrir la banane qui parle, cela peut nuire à sa santé. » Est-ce que tu aimes écrire ? Owi, j’adore çaaaaaa ! Ce que j’aime écrire ? Hum…Principalement des nouvelles, je suis trop feignante et irresponsable pour me lancer dans un roman/VLAM » Tu nous montres ce que tu fais ?C’est vraiment nécessaire ? Non mais parce que….D’accord, d’accord, baissez ce fusils, je vais le faire… Ces textes sont des présentations de personnages rp d’un même forum, enfin…Je vous laisse découvrir…[C’est pas fameux] - Texte 1:
Dans mon souvenir, cela devait être une journée d'hiver, en 1942, comme celle-ci. En Allemagne, l’hiver est toujours assez rude, il faisait froid. Et si ma mémoire est bonne...enfin...Il me semble qu'il neigeait...Un peu, beaucoup. Les flocons tombaient tout doucement sur le sol, c'était étrange, mais il ne me semble pas avoir vue plus beau paysage depuis. C'était en début février, je crois...Oui, ce devait être en février, je me souviens l'avoir vue sur le cadran de cette horloge ancienne, dans cette petite boutique de vieilleries. Je portais les cheveux détachés, tu me dis toujours que je suis plus jolie comme ça, et tu me fais rougir. D’ailleurs, tu adorais me mettre mal a l'aise, ça je m'en souviens très bien! Il faisait un peu froid, et mes doigts commençaient à me faire mal a travers le tissu de mes gants, et pourtant ils étaient bien chauds! Je t'ai attendu longtemps, tu sais? Mais tu n’es pas revenu, et il parait que tu ne reviendras jamais, c'est ce qu'ils ont dit, tes "collègues de travaille". J'ai voulu voir ta tombe, mais ils m'ont dit que tu n'en avais pas, et que tu étais quelque part, loin, très loin, là bas. En Russie, à qui on faisait la guerre, histoire de faire la guerre a quelqu'un. Alors comme ça, tu me laisse toute seule? Avec un enfant à naitre? Tu a bien due te moquer de moi, de la où tu étais, parce que j'avais le visage couvert de larmes quand ils me l'ont annoncé. T'a donné ta vie pour le Reich, qu’ils disaient, mais moi je m'en foutais, c'est toi que je voulais voir, pas la croix de ferraille qu'ils m'ont refourgués pour "l'honneur". Tu avais dit de ne pas m'inquiéter, pourtant, hein, tu avais une permission, et tout irais bien, tu reviendrais bientôt...Au début, c'était pour noël, mais tu n'avais pas pus, alors c'était devenu fin décembre, puis fin janvier, et finalement, début février. Tu l'aimais à ce point, ton foutu pays? Notre foutu pays? Au point d'aller mourir pour récupérer un territoire dont on n’avait pas tant besoin que ça? Tu te sentais donc obligé de mourir pour faire la guerre? De mourir pour tuer? Oh, je sais bien, de la où tu es, tu ne me répondras pas, mais je n’attends pas de réponse tu sais...Je n'en attends plus de personne, à vrai dire. Ensuite, deux mois plus tard, j'ai accouché, je ne sais pas trop ce qu'il s'est passé, avec ces bruits de bombardements en arrière plans et cette femme qui me criait que tout allais bien. Tout allait bien? Elle était ironique, la vielle, ou alors elle ne savait pas a quel point je souffrais. J'ai hurlé, je crois, hurlé aussi fort que la douleur l'était, et puis ensuite, je ne sais plus. Je crois que c'est là que j'ai perdu connaissance. Quand je me suis réveillée, ensuite, la même vielle peau m'a dit que mon bébé n'était plus là, tu te rends compte? Mon dernier morceau de toi s'est envolé aux cieux, j'espère que tu t'en occupe bien. C'était une fille, j'aurais aimé l'appeler Lucie... Mais...Tu sais, j'ai l'impression qu'un morceau de moi est parti avec mon petit ange, me voila toute seule a présent, au milieu de ce grand pays en guerre, sans trop savoir que faire, sans trop savoir ou aller. Toi, tu aurais sue, pas moi. Je souffre de ton absence, je souffre de celle de Lucie, je souffre a l'idée que toi, moi, elle, on aurait pus être une famille. Mais je suis trop fatiguée pour pleurer. A vrai dire, je me sens trop vide pour avoir l'impression de pleurer sincèrement. J'ai l'impression d'être constamment une actrice, je ris, je souris, je marche, je pleure, je vis, sans en éprouver la moindre envie. Je suis un pantin que l'instinct de survie manipule aux grés de ces besoins, si ça ne tenait qu'a moi, j'en finirais. Mais je suis lâche, si tu savais comme je suis lâche. Je me voyais donc forcée à vivre une vie dont je ne voulais plus, rythmée par la guerre, dont les nouvelles, si palpitantes pour les autres, me paraissaient si fades. Il parait qu'ils se sont affolés lorsque ça a été au tour des russes de nous envahir, lorsque de l'autre coté, les américains nous bombardaient. Moi, je n’avais pas peur, au contraire, soviétique ou américains, ces soldats seraient ceux qui exécuteraient la tache que moi-même ne pouvait accomplir, ils seraient ceux qui mettraient un terme a mes souffrances, comme cette idée était plaisante! Tu ne te rends peu être pas compte, et peu être que ces paroles t'horrifient. De toute façon, je ne supporte plus rien dans ce pays, ni ces idiots de soldats qui marchent au pas la tête baissé sans savoir où ils vont, ni ses monstres en costume noir qui te regardent d'un air plus froid que la mort elle même. Je ne supporte plus ce sale rat d'Hitler, qui parle de l'honneur allemand, ce même honneur qui m'a volé mon homme, mon bonheur et mon avenir. Tout va mal, depuis que tu n’es plus là, tout autour de moi, on dit que l'histoire se construit, mais la mienne s'est déjà achevée, puis elle s'est écroulée, m'emportant sous les décombres. Je perds pied, tu sais, je me souviens, avant la guerre, quand on était encore insouciants, quand on s'est rencontrés. Comme je regrette ce temps, c'était en été, oui, et ce n'était pas la guerre...Je me promenais avec Anna, mon amie, mon amie juive qu'ils on emportés là bas, je ne sais où. Elle aussi, elle m'a dit de ne pas m'inquiéter, et que tout ce passerais bien...Tout le monde se fout de ma gueule on dirait, ça vous fait sans doute plaisir de me voir espérer pour rien? Je te déteste, parce que tu as donné ta vie pour le pays qui m'a tout pris, tu sais, mais je t'aime aussi parce que tu as eu le courage de le faire. Mais moi je suis lâche, dieu comme je suis lâche... Maintenant, je marche dans une rue désertée, secouée de souvenirs, de toi, de moi, de nous. Il parait que les russes arrivent bientôt, et c'est pour ça qu'ils sont tous partis. Moi je reste, et je regarde ma mort arriver, je marche dans ses rues sombres tel un fantôme, et je souris en pensant au moment on je vous retrouverais la haut, vous tous. Tu me reconnaîtras, hein, pas vrai? J’ai l’impression de devenir folle, dans ce monde d’apocalypse biblique ! Ah, si tu savais comme la fin du monde ne me fait pas peur, mon amour, la fin de mon monde a déjà eu lieu, rien de pire ne peu se produire pour moi, a présent ! Ou vont donc tous ses lâches qui fuient vers l’ouest ? Ne savent ils pas que c’est la fin ? Ce ne peu être que la fin du monde en avançant ! Soudain, un bruit crissant stoppe mes pas, et si je levais les yeux? Bas, pas la peine, et pourtant, je m'arrête tout de même. Ce bruit, on dirait un vieux fauteuil roulant usé…C’est étrange comme ce bruit chasse soudain toute pensée de mon esprit. Je ferme les yeux, et me laisse bercer par ce bruit étrangement régulier. Je suis calme, horriblement calme. Un sourire ironique s’esquisse sur les lèvres. Le froid de l’hiver est mordant et pourtant une douce chaleur m’envahie. Je peu ouvrir les yeux sans crainte, je sais qu’elle ne me veut aucuns mal… « Bonjour petite couleur perdue… Astrid est là, Astrid est venue te sauver, n’aie plus peur… Astrid est seule aussi, veux-tu jouer avec Astrid ? » Murmure la douce voix enfantine. Crois tu que notre fille aurais eu une voix aussi douce ? Qu’elle aurait été aussi belle que celle que j’ai à présent en face de moi ? Cette jeune fille, la, devant moi, est la beauté et la souffrance du monde incarné, à la fois magnifique et démente, j’ai l’impression de regarder le reflet de mon esprit dans une flaque d’eau trouble. Un rire sans joie, presque fou sort de ma gorge malgré moi. « Jouer ? A quoi veux-tu jouer, mon enfant ? A la guerre ? Aller, dit moi, qui de ton frère, de ton père ou de ta mère a été tués ? Dit le moi, qui je puisse occuper la place qu’il a laissée vide ! Moi aussi, je suis seule, moi aussi, alors j’attends ma mort, et si tu es la, c’est que tu l’attends également, attendons la toute les deux… » Soufflai-je, prise d’une impatience soudaine de gouter au linceul de la mort. Alors, elle chante, de sa voix si douce et si tremblante. De cette voix d’enfant perdu qui cherche une issue au cauchemar dans lequel elle est plongée.
« Astrid choisit une couleur, Astrid choisit une couleur ! De quelle couleur va-t-elle te peindre ? Elle va te peindre en ROUGE ! Rouge passion, rouge colère… Rouge sang, rouge bolchévique, rouge de haine… Elle va te peindre en ORANGE ! Orange, centre de l’univers… Orange, orage, tonnerre qui gronde… Elle va te peindre en JAUNE ! Tu seras heureux à jamais… Jaune, trahison, infidélité, poignard dans le dos… Elle va te peindre en VERT ! Vert, la chance te guidera mais… Vert, espoir vain dans un monde d’horreur. Elle va te peindre en BLEU ! Peur dans les plaines abyssales… Abysse de la guerre et de la solitude. Elle va te peindre en VIOLET ! Tes souvenirs te feront mal… Violet, souvenir d’un passé heureux révolu… Elle va te peindre en INDIGO ! Ta folie tu ne pourras que craindre… La démence que je crains envahi mon esprit… De quelle couleur va-t-elle te peindre ? » Je ferme les yeux, les ouvrent à nouveau, garde silence, puis fini par déclarer d’une voix de plus en plus faible. « Choisi, petite sœur, choisi…Qui sais, peu être que tout cela n’est qu’un rêve… J’aimerais qu’il dure toujours… ». Oui, je veux rêver, et si je ne peu pas te retrouver, si je ne peu pas ME retrouver, alors que je vive dans son monde a elle, a jamais, eternel rebus de moi-même, reflet d’un miroir brisé donc les morceaux s’émiettent au gré de la guerre…
Moi qui ne suis plus que le songe d'un soldat mort, fait moi exister, petite Astrid...
- Texte 2:
Je suis né un jour d'été, le soleil brulait les plaines, les fruits mures pendaient aux arbres, bel été...Été trompeur, surtout, car quand je suis né, le mal était fait, et la haine n'allait pas tarder a engloutir l'Europe...
Je me souviens, je me souviens des longues soirées passées a regarder le soleil se coucher, en écoutant le cri des cigales, de la chaleur douce qui nous enveloppait...Quel beau monde, quel beau ciel bleu azur, quel beau mensonge...Il ne faut pas se mentir, le monde n'es pas beau, il ne l'a jamais été et ne le sera jamais, malgré le printemps qui redonne vie a mes contrées natals encore enneigées, malgré l'été et ses fruits au doux goût sucrés, malgré l'automne qui fait roussir les forêts de mon pays adoré...Parce que l'hiver finit toujours par arriver, avec son lot de désolation...
L'hiver est arrivé sous forme de haine, et la haine a engloutis les fruits sucrés, les bourgeons encore pales et les belles feuilles rousses, la haine, tel un flot, a tout englouti. Pays pauvre, humilié est devenu bourreau...Petit gosse des campagnes est devenu enfant soldat... Ne pas surtout pas toucher terre dit l'enfant
Je ne voulais pas de ses paroles de haines, je ne voulais pas de cette colère qui n'était pas la mienne, je ne voulais rien d'autres que de retourner dans ma belle campagne, d'écouter a nouveau mes cigales, et de regarder mes feuilles rougir pour l'automne...
Mais du rouge, je n'ai plus revus que le sang, la folie, la furie...Et cette haine, cette haine, pourquoi cette haine? Elle brulait, elle faisait mal, elle tachait mes mains de rouge...Écarlate comme les feuilles de l'automne...
Quelle herbe dans ces herbes est l'herbe qui hurle?
Chaire a canon, simple outils, simple arme de guerre...Les innocents enfants que nous étions sont devenus adolescent en apprenant la haine...
Et la fierté d'un pays meurtrier nous somme devenus, mon frère, lui, est devenu une de ces étranges ombres a la logique monstrueuse et a l'envie de tuer toujours en éveille...J'ai commencer a le craindre, a avoir peur de son uniforme noir comme le deuil...J'aurais du comprendre... Ou poser le talon sans éveiller la bête?
Maman, ma chère maman, toi qui faisait de ton mieux pour me conserver de cet enfer, toi qui me souriait même quand les larmes coulaient comme des cascades sur tes joues devenus pales, et ton regard rassurant pourtant devenu terne depuis cette maudite guerre, maman, ma petite maman...Si j'ai survécu tout ce temps, c'est grâce a toi, le sais tu?
Chut murmure la mère ne chante, ne danse pas les gueules de feu avalent la jambe la jambe du chant la jambe de la danse
J'ai cacher ma peur, j'ai cacher mon dégout derrière le silence, derrière mon regard vide...Les monstres n'ont pas voulu m'apprendre la haine, j'étaie trop faible pour leur guerre, un poids inutile pour « notre glorieux pays »...Et pourtant, ma mère, ma mère toujours la pour me défendre...
Puis il y a eu Lucas, ce petit enfant « impure » que ma mère a décider de cacher a l'abri des monstres. Il était sympa, Lucas, pas vraiment diffèrent des autres avec ses bouclettes brunes couleur chocolat...C'est vraiment bête de dire qu'il est différent des autres, parce que moi, je ne voyait pas la différence... On n'avait pas besoin de se parler, un regard, et on se comprenait, c'était comme ça...ça aurais du rester comme ça....
Alors pourquoi? Pourquoi tout s'est arrêter? Pourquoi ma mère a arrêter de chantonner ces berceuses et pourquoi Lucas a il arrêter de arpenter silencieusement nos couloirs comme un chat?
Tout ça s'est arrêter un jour d'automne, ou les feuilles rouges tombaient en tempo sur le sol de la cour, rouge comme le sang de ma mère qui coulait goutte a goutte sur le carrelage blanc, et mon frère qui se tenait au dessus d'elle, le regard vide de toutes émotions...
Il m'expliqua qu'ils étaient venus chercher Lucas, parce que c'était un « inférieur » et que ma mère n'avait pas voulu, qu'elle avait voulu le défendre...Alors ils l'avait tuée, parce que c'était une traitresse, de toute façon...
J'aurais voulu pleurer, hurler, le frapper, mais au lieu de ça, je suis remonter calmement dans ma chambre, comme anesthésié de tout sentiments, et j'ai fermer la porte, tout doucement, écoutant attentivement le bruit du bois qui grince...
Puis j'ai entendu un son régulier, le bois du sol s'est mis a grincer, et une voix de petite fille s'est mis a murmurer, doucement, tout doucement...
« Bonjour petite couleur perdue… Astrid est là, Astrid est venue te sauver, n’aie plus peur… Astrid est seule aussi, veux-tu jouer avec Astrid ? »
Les premières larmes ont couler sur mes joues, suivit d'autres, beaucoup d'autres, je me suis mis a trembler, secoué d'émotions...J'ai essayer d'articuler malgré tout quelques paroles...
« J..Je t...T'en pris...Astrid....Emmène moi loin...D...D'ici...Ma maman...Est morte...Qui va me protéger maintenant? »
Elle me sourit doucement, et fait rouler ses crayons par terre, les uns après les autres, tout en chantant un douce mélodie qui calme ma douleur...
« Astrid choisit une couleur, Astrid choisit une couleur ! De quelle couleur va-t-elle te peindre ? Elle va te peindre en ROUGE ! Non, pas rouge, pas le sang... Rouge passion, rouge colère… Elle va te peindre en ORANGE ! Orange? Comme les feuilles d'automne? Orange, centre de l’univers… Elle va te peindre en JAUNE ! Jaune, ça me rappelle la lumière du soleil d'été... Tu seras heureux à jamais… Elle va te peindre en VERT ! Les forêts d'été, si fraiche et ensoleillées Vert, la chance te guidera mais… Elle va te peindre en BLEU ! Comme les yeux de mamans... Peur dans les plaines abyssales… Elle va te peindre en VIOLET ! De belles fleurs, Lucas aimait beaucoup leur parfum... Tes souvenirs te feront mal… Elle va te peindre en INDIGO ! Indigo? C'est trop sombre...Je n'aime pas cette couleur... Ta folie tu ne pourras que craindre… De quelle couleur va-t-elle te peindre ? »
Mes yeux se ferment peu a peu...Et dans un un dernier moment de conscience, je murmure...
« Dit Astrid, tu voudrais bien être ma maman? » J'irai répond l'enfant je chanterai, je danserai dans les airs et sur les eaux et s'ils minent les rêves je volerai au dessus de mes rêves J-P Siméon « toucher terre »
- Texte 3:
On ne trouve pas la solution pour réparer un cœur brisé dans les livres de science, j’ai déjà cherché. La réponse n’est pas dans les chiffres, aucunes équations aussi compliquée soit elle ne peut résoudre le problème d’une âme en peine. Et même les traités d’anatomies sur le cœur n’expliquent pas comment en recoller les morceaux. Après tout, c’est vrai, ce n’est qu’un organe qui pompe le sang, pas les sentiments, c’est quelque chose de physique, pas de psychologique. C’est peut-être parce que ce n’est pas le cœur, mais la tête qui est brisé qu’on ne peut rien réparer. Aucun neurochirurgien ne peut réparer une âme brisée, personne ne sais comment faire…
Mais je m’égare dans mes théories douteuses, vous vouliez savoir quel fut l’acte qui me conduisit chez Astrid ? Il est bien simple : il arrive parfois que les scientifiques aient peu de temps pour achever leurs recherches, car des vies en dépendent. Je fais en quelque sorte parti de ceux-là, mais mes recherches n’ont rien donnés, et j’ai tout perdu, je n’ai pas trouvé la réponse, et les vies qui dépendaient de moi ont été prises. Je fais un bien piètre scientifique. Je ne sais pas depuis quand mon malheur dure. Je l’ai oublié.
Il me semble, enfin, j’espère, avoir mené une enfance heureuse auprès de mes parents. Mais tout est confus, dans ma tête, je me souviens qu’ils marchaient, ensemble, et je tenais leurs deux mains dans les miennes, j’étais heureux, j’étais le lien qui les unissaient. Je ne sais plus à quel moment exactement mon père à voulu faire de moi un parfait scientifique. Mais il fut celui qui vint ternir l’éclat de ce bonheur, et le pire, peut-être, c’est qu’il pensait le fait pour mon bien.
Mais comment le blâmer ? C’était un scientifique, après tout. Il voyait les choses de façon si mathématiques… Père, j’aurais vraiment aimé rester un enfant plus longtemps…Pourquoi ? Pourquoi avoir voulu faire de moi l’adulte que je n’étais pas ? Que je n’ai jamais pus devenir ? Par orgueil ? Père…Je ne suis pas comme toi. Je veux grandir, vivre et pouvoir être heureux, insouciant comme le sont ceux de mon âge, peu m’importe d’avoir le savoir et la renommée, si le bonheur en est le prix à payer… Je voulais que tu sois un père, juste un père, présent, attentionné, amical…Tu ne l’as pas été, tu avais la froideur, la distance et la rigueur d’un précepteur, pendant toute ses années, à compter de mes six ans, tu m’apprenais, sans relâche, des mots complexes, déjà trop complexes pour mon âge, mais pas une seule fois tu ne m’as expliqué le sens du mot affection.
Pendant toutes années, ni à moi, ni à ma mère, tu n’as montré ton amour. Pourtant, je crois, j’ose croire que tu nous aimais. Mais tu étais mathématique, et tu ne savais pas comment l’exprimer, c’est tout…J’aurais du comprendre, voir derrière ton regard froid et tes paroles sèches, savoir que cela cachais de l’attachement envers nous. Mais je n’ai pas pus, je n’ai pas réussi, et malgré moi, je doute encore de l’amour que tu nous portais. C’est d’avantage ma mère qui m’apprit le sens du mot affection.
Son discours était merveilleux, elle m’apprenait des mots que jamais je n’entendais de ton oreille, père. Elle me parlait d’amour, et je voyais, de mon regard d’enfant, que les yeux qu’elle posait sur toi étaient encore ceux d’une femme passionnée. Elle t’aimait, elle t’aimait d’un amour si tendre, pourquoi n’avoir rien vu, pourquoi avoir fait comme si de rien était ? Savais-tu seulement que ses discours de grande romantique me fascinaient mille fois plus que tes calculs de scientifique désillusionné ?
Mais plus son discours avançait, plus il devenait mélancolique, alors, je sentais avec désespoir qu’elle tombait dans un gouffre dont je ne pouvais la tirer. Et je voyais, je voyais presque avec horreur, ses yeux brillant d’amour et de larmes, elle glissait, glissait…Son amour l’a entrainé dans un profond sommeil dont elle n’a pus se réveiller. Les médecins ont ajoutés qu’avec la dose de somnifère qu’elle avait ingurgité, la mort était la seule issue possible. Tu crois que je n’écoutais pas ? Mais si, souviens-toi, j’étais juste derrière la porte…
Son amour pour toi était sans réponse, et son cœur a été brisé par le vide qui l’habitait. Je n’ai rien pus faire, mon amour à moi n’a pas su la guérir de son mal. Ce fut mon premier échec. Qu’aurais-je du faire pour qu’elle reste en vie ? Qu’aurais-je du faire pour qu’elle ne s’endorme pas ? Comment aurais-je du l’empêcher de sombrer dans ce gouffre ? Je me rassure souvent en me disant que je n’étais qu’un enfant, et que je ne pouvais pas. Mais je sais très bien que c’est faux. J’y suis forcement pour quelque chose…
Et maintenant, mon ciel était vide. Il n’y avait rien, plus aucune étoile susceptible de me guider, c’est comme si l’étoile du berger avait coulé dans un océan aux eaux noirs, sans fond. Perdu au milieu d’un tel océan, je ne savais plus quoi faire, j’ai cherché tes yeux, j’ai cherché ta voix, j’ai cherché ton aide, mais tu n’as même pas daigné me les donner. Je n’ai pas su quoi faire, alors je me suis plongé dans mes livres, j’ai lue autant que j’ai pus, jusqu'à m’en vider l’esprit, a faire de moi une coquille vide remplis de mots complexes dénués de sens. Tu n’imagine même pas la détresse qui me détruisait, père. Tu souriant, tu étais heureux, quel genre de père est heureux de voir son fils ainsi ?
Pourquoi n’a tu pas compris ? Pourquoi n’a tu pas vu à quel point je t’en voulais ? Et pourquoi n’a tu pas vu, également, à quel point j’avais besoin de toi ? Voulais-tu seulement le comprendre ? Ou la mort de ta femme, de ma mère, avait-elle achevé de te rendre aveugle ? Je ne sais pas, je n’ai pas cherché à savoir, je me suis mis a travailler, travailler sans relâche, pour ne pas réfléchir, ne pas penser, les mots effleuraient mon esprit sans réellement y demeurer. J’étais vide, vide d’émotions, d’énergie, du gout de vivre.
J’étais perdu dans mon esprit, je marchais seul, en trainant des pieds, et la seule personne qui marchait à mes cotés était mon ombre. Je la regardais sans cesse, mon ombre, et il me semble parfois avoir cru la voir pleurer, pleurer des larmes qui ne roulaient plus depuis bien longtemps sur mon visage. Pleurer les larmes que je n’avais pas pus pleurer lorsque ma mère a laissé une place vide dans mon cœur. Mon ombre pleurait pour moi, mon ombre était encore un enfant, et à moi, il me semblait déjà être un jeune adulte. J’ai traversé cette rue sans regarder des deux cotés, sans prendre attention de cette voiture qui fonçait sur moi, j’ai entendu ton cri, tu criais mon nom, je me suis retourné vers toi, mais tu m’a poussé violemment, comme pour me rejeter. Je n’ai pas compris, même lorsque cette voiture t’a fauché, je n’ai pas compris. Je n’ai compris que lorsque ton corps, violemment projeté au dessus de la voiture, a fait un bruit sourd en tombant sur le sol, lorsque des bruits de freins forcés ont percé mes tympans, lorsqu’une tache rougeâtre s’est propagée autour de ton crane défoncé sur le pavé de pierre grise.
Je n’ai pas pleuré, je ne savais pas comment faire. Je n’ai pas crié, je n’ai pas regardé celui qui venait de tuer mon père, je n’ai pas appelé au secours, je n’ai ressentis ni détresse ni peine, juste un grand vide, un vide immense. Le désespoir, je crois. Alors je me suis relevé, mes coudes me faisaient mal, ils saignaient un peu, j’ai ramassé mes lunettes et je les aie mises bien droites sur mon nez, elles étaient cassés. Je me suis retourné et je me suis mis à marcher, a marcher je ne sais où, j’avais besoin de marcher…
Bonjour petite couleur perdue…
Une petite fille en fauteuil roulant se tient juste devant moi, je ne la connais pas, mais elle semble me connaitre, depuis longtemps déjà. Sinon, comme saurait-elle que je suis perdu ?
Astrid est là, Astrid est venue te sauver, n’aie plus peur…
Je ne sais même plus où je suis, je ne veux pas le savoir, peu importe, je veux disparaitre, je veux juste oublier, partir, et je chercherais bien d’autre synonymes de mourir pour éviter d’utiliser ce terme.
Astrid est seule aussi, veux-tu jouer avec Astrid ?
Alors mon ombre parle pour moi. Mon ombre se met à rire d’un rire malheureux et répond d’une voix d’enfant inaudible. La voix de mon ombre dit :
Oh oui, Astrid, emmène-moi ou tu veux ! Tu veux jouer ? Jouons ! Je veux jouer, plus apprendre, jouer, jouons jusqu'à oublier, jouons jusqu'à en mourir, Astrid !
Alors la petite Astrid fait un sourire malheureux et se met à chanter d’une voix d’ange, elle aussi, à sa façon, raconte l’amour dans sa comptine, elle chante d’une voix qui a mille fois répété ses paroles…Elle chante pour distiller sa tristesse.
Astrid choisit une couleur, Astrid choisit une couleur ! De quelle couleur va-t-elle te peindre ?
Astrid va choisir une couleur qui te correspond, la couleur des âmes brisées, la couleur des gens qui ont oublié pourquoi ils étaient la, la couleur des gens qui ont oublié qui ils sont, et a quoi ils servent…
Elle va te peindre en ROUGE ! Rouge passion, rouge colère…
Rouge, la colère que tu ressens tout au fond de toi, ce poing levé contre ce maudit destin qui s’acharne sur toi, cette impression de vouloir lutter à contre-courant. Mais tu sais bien ce qu’il en est, tu es comme ta mère aux yeux brillants de passion, tu sais que toute lutte est vaine, et que toute cette colère n’est qu’une impression douloureuse, à peine réel…
Elle va te peindre en ORANGE ! Orange, centre de l’univers…
L’univers, combien de temps a tu passé à étudier ses étendues lointaines ? Il te semblait n’avoir qu’à tendre la main pour ramasser ces étoiles. Après tout, toutes ses nébuleuses, ces naines blanches, ces commettes et ses planètes luisantes ne sont qu’a portée de bras, imprimée sur de larges pages de papier glacé. Elles sont comme le cœur de ton père, à la fois tout proche et trop lointain.
Elle va te peindre en JAUNE ! Tu seras heureux à jamais…
Heureux à jamais, hein ? Peut-être que si maman et papa s’était aimé, ça se serait passé comme ça. Tu aimerais bien le savoir, hein ? Mais le temps les a rendus muets, et la réponse qu’ils portaient en eux et partis avec eux dans leurs tombes. Malgré tout, ils se sont aimés, n’est-ce pas ? Tu ne perds pas cette idée de vue, comme un marin solitaire perdu en pleine tempête qui fixe avec espoir la lumière lointaine du phare, puisse-elle être un mirage, elle l’aide à tenir.
Elle va te peindre en VERT ! Vert, la chance te guidera mais…
Il y a toujours eu un mais, cela symbolise tes doutes. Papa nous aimais mais…Je ne pouvais rien faire pour maman mais…J’aurais pus être heureux mais…Mais quoi ? Tu attends une réponse ? Elle ne viendra pas du ciel, tu sais. Tu ferais mieux de lâcher toutes ses questions…Après tout, on ne peut pas t’en vouloir, de te torturer ainsi l’esprit…Tu es un scientifique…
Elle va te peindre en BLEU ! Peur dans les plaines abyssales…
Peur, détresse que tu ressens a présent, tu es seul, et la plaine abyssale, c’est la vie elle-même, tu a passé tant de temps à étudier, a apprendre, que tu en as oublié le plus simple. Souviens-toi, aller, comment pleurer, comment aimer, comment sourire…Tu n’y arrive pas ? Ne t’inquiète pas, tu le sais encore, tu l’as toujours su, c’est juste l’état de choc qui fait ça…
Elle va te peindre en VIOLET ! Tes souvenirs te feront mal…
Tes souvenirs ? Bien sûr qu’ils te font mal ! C’est évident, la question ne se pose même pas ! Regarde toi, tu pleure, tu pleure devant Astrid. Évidement que ça fait mal, ton passé, mais tu ne veux plus y penser, tu le rejette, tu te demande à quoi ça rime de te faire souffrir en vain. Tu auras beau y penser, ça ne t’apporte rien. Ton passé n’est pas un refuge, c’est l’avenir qui le devient. Ou plutôt l’espoir que tu y place.
Elle va te peindre en INDIGO ! Ta folie tu ne pourras que craindre…
C’est vrai ça, es-tu devenu fou ? Ce ne serait pas étonnant, après tout, tu t’es tellement embrouillé dans ton esprit…Tes doutes vont finir par te rendre fou, après tout…Mais non, ta raison tiens bon, tu veux au moins savoir quelle monde cache les yeux d’Astrid. Ta raison tiens et tiendra longtemps encore, si Astrid t’en donne l’occasion.
De quelle couleur va-t-elle te peindre ?
Ah ça, tu à l’embarras du choix, ma chère Astrid… » Si t'écris pas, tu fais quoi ici ? Je dessine, je joue de la flute traversière et je fait le scénario de bd complètement What the fuck... » Tu fais du RP ?En effet, et je suis [merdique] un maitre dans le genre ! » Quel genre de RP ?De tout, mais j’avoue que je n’ai pas encore écris du yuri/yaoi/hentai, personne ne veuuuuut/VLAM » Pourquoi ce genre de RP là ?Ben…..Euh….Je trouvais que ça avait un petit gout de fraise… » Est-ce que ça te tape de voir RP partout ?Laissez-moi réfléchir….OUI !!! [Suite censurée] » Ton légume préféré ?La pomme de terre ! » Ton fruit préféré ?La….Noix de coco ! Vous ne vous y attendiez pas, hein ? » Ton Disney préféré ?Frère des ours et le roi lion…Bon, d’acc, frère des ours, ce n’est pas vraiment un classique mais moi j’aime bien ! Oh, j’ai aussi un petit faible pour les Aristochats… » Ta série télé préférée ? Les citées d’or (Je suis une grande gamine…) et Sanctuary (okay, je n’ai pas vu beaucoup d’épisodes, mais j’aime bien quand même)… » Ton film préféré ?Princesse Mononoké, bien sur, je l’ai regardé trois fois de suite, je ne m’en lasserais jamais… » Ton livre préféré ? Le Petit Prince, de Saint-Exupéry, sans doute… (Mais j’aime aussi beaucoup L’équation africaine de Yasmina Khadra). » Ta célébrité préférée ?Hayao Miyazaki, le plus grand géni de tout les temps ! » Ton animal préféré ?LE CHAT ! LE CHAT C’EST SACRE, T’Y TOUCHE PAS !!!...Hum, désolée… » Une question qu'on ne t’a jamais posé ? Tu a déjà vu Brad Pitt habillé en gothic lolita conduire un tracteur dans la rue des champs Elysées avec la chancelière allemande assise sur ses genoux ? [Oui, bon, votre question est tordue, alors voila une réponse tordue] » Ce que tu répondrais ?Ah, mais je ne répondrais pas…J’appellerais directement l’hôpital psychiatrique…Pour lui, pas pour moi…Comment ça, c’est la pitié qui se fout de la charité ? Tu ne t’es pas vu ! Tronche de thon ! Si il y avait un code à trouver, je l'ai pas trouvé... |
| | | Lyra Saphira
Messages : 644 Date d'inscription : 01/09/2011 Age : 28 Localisation : Là où tu n'es probablement pas ...
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Lun 28 Oct - 13:09 | |
| Tout d'abord bienvenue à toi très chère banane parlante ! \O/ - La banane qui parle a écrit:
» Ton film préféré ? Princesse Mononoké, bien sur, je l’ai regardé trois fois de suite, je ne m’en lasserais jamais… » Ta célébrité préférée ? Hayao Miyazaki, le plus grand géni de tout les temps ! Je sens qu'on va bien s'entendre ! x) Puis tu m'as l'air bien tarée, comme je les aimes mouhahah ! Hum.. passons.. J'aime beaucoup ton style d'écriture :). J'espère que tu te plairas sur le forum, en revanche autant te prévenir de suite même si tu ne vas pas tarder à t'en rendre compte, le forum est devenue une ville fantomatique ces derniers temps, mais j'espère fortement que l'arrivée d'un nouveau membre vas le rebooster un peu ^^. Je te remercie pour le compliment au sujet du design, ça fait plaisir ! :) Voilà voilà, amuses toi bien parmi nous jeune padawan ! \O/ :) |
| | | La banane qui parle
Messages : 385 Date d'inscription : 27/10/2013 Age : 26 Localisation : Dans une assiette de Banana-Split
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Lun 28 Oct - 18:52 | |
| - La tête que je fait en ce moment:
Un forum si beau et si prometteur, forum fantôme...Quelle tristesse... Mais bon, dans la vie faut fighter, il faut rameuter du peuple et organiser une parto/VLAM euh, je voulais dire rameuter du peuple et ressusciter le fow. Mais bon, je voulais juste savoir, à part toi, y a des gens qui viennent encore? Si on est que deux, c'est triste ;_; ps : Sinon Miyazaki est le meilleur et l'effet des profil/avatar, je le trouve juste génial, quoi... |
| | | Lyra Saphira
Messages : 644 Date d'inscription : 01/09/2011 Age : 28 Localisation : Là où tu n'es probablement pas ...
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Lun 28 Oct - 19:43 | |
| Il y a peu de temps il y avait encore les admins, puis peu à peu voyant qu'il n'y avait plus trop d’activité certains membres ont arrêtés de venir, et l'une des admins qui venait souvent a eu quelques soucis personnels. Alors j'espère que les petites notifications que nous sommes en train de faire va faire pointer le bout du nez de certains, dont les admins. Pour l'instant je suis bien obligée d'admettre que nous ne sommes que toutes les 2 ^^'.
Je vais contacter la créatrice du forum quand même pour voir où ça en est, mais je suis d'accord, c'est vraiment dommage ^^. |
| | | La banane qui parle
Messages : 385 Date d'inscription : 27/10/2013 Age : 26 Localisation : Dans une assiette de Banana-Split
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Lun 28 Oct - 21:09 | |
| j’espère que des gens vont revenir =3
|
| | | Lyra Saphira
Messages : 644 Date d'inscription : 01/09/2011 Age : 28 Localisation : Là où tu n'es probablement pas ...
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Lun 28 Oct - 22:40 | |
| J'ai quelques questions à te poser, rencontre tu un problème d'affichage sur le foum ? Débordement de textes, images décalées ou autre. Et en réduisant la fenêtre ? Et pour finir quelle est la taille de ton écran ? Je te remercie d'avance, je te pose ces questions car nous avons eu récemment quelques pb d'affichage chez certains membres (quand ils étaient encore là s'entend x)), et malgré maintes recherches et modifications le pb semble persister ^^.
Pour ma part je ne rencontre aucun pb quelque soit l'écran, en ce moment même je suis sur le forum depuis mon portable, donc petit écran, et je ne rencontre aucun pb ^^. Ma dernière modification aurait elle miraculeusement aboutie ? x) |
| | | Naskii
Messages : 778 Date d'inscription : 02/11/2010 Age : 28 Localisation : Dans ta chambre
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Mar 29 Oct - 13:55 | |
| BOUUUYAAAAA !
Un new membre... *0*
En effet, ville fantômatique, mais maintenant que ça va mieux dans ma vie, nous allons procédé à une défibrilation électrique afin de ressuciter ce forum ! En bon québécois... Watch out.
Bref, je suis contente de te compter parmis nous ! <3
Lyra ; moi, ça déborde toujours :( |
| | | Lyra Saphira
Messages : 644 Date d'inscription : 01/09/2011 Age : 28 Localisation : Là où tu n'es probablement pas ...
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Mar 29 Oct - 22:12 | |
| Ah flûte, c'était trop beau pour être vrai x), bon beh au boulot pour trouver cette vilaine petite bête ^^ |
| | | La banane qui parle
Messages : 385 Date d'inscription : 27/10/2013 Age : 26 Localisation : Dans une assiette de Banana-Split
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Ven 1 Nov - 21:48 | |
| Desolée pour cette petite absence, j'ai eu des chtits problémes avec mon ordi qui a la facheuse manie de se comporter comme une grand-mére atteinte de démence alors voila, je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour, pour preserver le monde de la devastation et pour rallier tout les peuples a notre nation!
Et je n'ai aucuns problémes d'affichages, sinon, j'aurais pas fait des compliments sur le fow/PAN |
| | | Lyra Saphira
Messages : 644 Date d'inscription : 01/09/2011 Age : 28 Localisation : Là où tu n'es probablement pas ...
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Sam 2 Nov - 9:18 | |
| Ahah x) Cool ! ^^ (Mes commentaires sont vraiment très constructifs) Et sinon, ne t'en fait pas pour ton absence on ne t'en veux pas tropEdit : N'hésite pas à participer aux jeux dans "Eclat d'amusement" sur le fofo si tu as du temps à perdre |
| | | La banane qui parle
Messages : 385 Date d'inscription : 27/10/2013 Age : 26 Localisation : Dans une assiette de Banana-Split
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Sam 2 Nov - 19:03 | |
| Bien sur que j'ai du temps a perdre, voyons, j'y vais de ce pas 8D |
| | | Lyra Saphira
Messages : 644 Date d'inscription : 01/09/2011 Age : 28 Localisation : Là où tu n'es probablement pas ...
| Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... Sam 2 Nov - 19:11 | |
| Ahah, marchi à toi jeune padawan ! :) |
| | | | Sujet: Re: Cinq fruit et légumes par jour... | |
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| | | | Cinq fruit et légumes par jour... | |
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